NICE MATIN SEPTEMBRE 2000

Claude tend , dès qu'il le peut, la main et le coeur. Il n'oublie pas que le destin a mis sur la voix de sa voix cassée (si cristalline dans ma jeunesse) les frères Célie. Pierre et Michel, ont cru en lui, après avoir lancé "La danse des canards", puis permis à Bernard Dimey, génie du mot, de graver son testament phonographique. 

A un an près, Claude ne l'a pas connu, mais evoque "la tendresse de Bernard Dimey" dans "Je ne t'écrirai plus" Dimey était bohème. Claude a tout du maçon, et construit spectacles, ou carrière, pierre après pierre. Prof de musique, à 17 ans, directeur artistique des disques Vogue en Belgique, à 21 ans: "Mon boss m'appelait le rital. Cela m'a donné une chanson". "Chez nous, si les parents veulent que vous soyez chanteur, ils accrochent le cordon ombilicale à un buisson épineux. Ils l'ont fait pour moi. 

J'ais souvent été voir l'endroit". Si les gens de Sony, qui ont racheté le catalogue des frères Célie, Barzotti dans le lot, n'attendent pas pour l'encenser, qu'il entre au club des disparus, avec Cloclo, Mike Brant, Joe Dassin et les autres, il enregistrera un nouveau Cd en 2001. 

Il y travaille , et termine le double album d(une comédie musicale, dont il est producteur, et compositeur "Les nouveaux nomades" histoire d'amour chez les gens sans papiers. 

 Article de Nice matin septembre 2000