© Franck Chevrier / Côté P.-O
Une chanson qui propulsa son interprète – et auteur – sur le devant de la scène en quelques semaines seulement. Trente ans plus tard pile poil, Claude Barzotti est toujours là et bien là.
Certes, il n’a plus depuis son tube réitéré l’exploit, certes il a connu l’échec avec une comédie musicale, «Les nouveaux nomades», arrêtée avant même d’avoir débutée, certes il a dû mettre un peu la pédale douce après une petite crise cardiaque, certes l’une de ses chansons – issue justement de cette comédie musicale jamais montée – reprise par des groupuscules d’extrême-droite l’a plongé dans une polémique sans fondement, certes ses chansons ne squattent plus les ondes radio et télé, et pourtant il continue à accumuler les concerts, arpentant sans relâche les routes hexagonales pour aller à la rencontre de ce public qui jamais ne l’a abandonné, ne l’a oublié.
Populaire, Claude Barzotti l’est assurément, n’en déplaise à ceux qui ne jurent que par la nouvelle scène bobo.
Il suffisait pour s’en convaincre de plonger au coeur de la ferveur de ses admirateurs réunis le temps d’une soirée savoureuse comme un vin d’Italie, une soirée entre émotion et plaisir, chaleur et nostalgie délicate.
Rarement Pollestres avait auparavant vibré autant qu’en cette soirée passée en compagnie de Claude Barzotti. - Article 2 Novembre 2013
Source /cotepo.fr/
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