lundi 3 février 2014

CLAUDE BARZOTTI , LE CONQUERANT PRESSE N°1

posté le dimanche 20 novembre 2011

Les tempêtes de la vie ne l'ont pas brisé. Après une période au creux de la vague, Claude Barzotti revient. Son opus « Une autre vie» sonne comme une renaissance. Quatorze titres inédits, avec la sincérité en fil conducteur. « Je chante l'amour sous toutes ses formes?», clame l'artiste. Sa flamme voyage, de Mademoiselle M S, clin d'oeil à Mathilde Seigner, à L'amitié, en passant par Ce qui était n'est plus. Il dévoile également «?C'est mon histoire?». Ce double CD best of ravira les passionnés de ses incontournables succès?: Le rital, Madame, Aime-moi... A n'en pas douter, Claude Barzotti est animé par la volonté d'avancer. Dans son cœur, l'Italie n'est jamais loin... 

Quand a germé l'idée de votre retour ? 

Ça fait cinq ou six ans que je prépare cet album. J'ai mis beaucoup de temps pour l'accoucher. Il y a quatorze nouvelles chansons. Mais j'en ai enregistré vingt-cinq. On a du choisir. Et trois années d'affilée, j'ai fait « Âge tendre et Têtes de bois » : 2008, 2009, 2010. 

Pour l'opus « Une autre vie », comment s'est déroulé le choix des textes ? 

Je travaille beaucoup avec Anne-Marie Gaspard et Lyvia D'Alché. Anne-Marie, je la connais depuis le début. J'ai écrit toutes mes chansons avec elle. Sa plume est extraordinaire. Et je trouve que Lyvia écrit très bien aussi. Elle explique des histoires comme je les aime. Par exemple, elle a écrit La maison est à vendre.

Vous partez sur des thèmes d'écriture... 

Oui ! Actuellement, beaucoup de gens que je connais ont des problèmes pour rembourser. Malheureusement, ce qui peut arriver de pire à un couple, c'est de revendre leur maison. C'est très triste. 

Vous êtes le compositeur et le réalisateur de l'album... 

Oui ! (Enjoué) Je suis compositeur, et souvent co-auteur. Et j'ai été directeur artistique pendant huit ans. J'ai commencé en 1975 chez Vogue. D'ailleurs, c'était l'une des plus grandes maisons de disques d'Europe. Le 1er juin 1983, j'ai décidé de prendre un congé de six mois sans solde. J'avais le disque Le rital qui sortait. Et j'avais déjà eu Madame qui marchait très fort. Mais je n'avais pas arrêté mon travail. Je devais recommencer le 1er décembre. Et je me souviens que ce jour-là, à 8 h 30 du matin, j'ai appelé mon patron en disant « Je pense que j'aurai quelques années de retard ». Avec Le rital, j'étais numéro un partout. (Sourire) 

« Je suis plutôt un chanteur d'émotions que de charme... » 

Propos recueillis par Jérémy Budzynowski Mona FM

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