ARTICLE PRESSE L'EST ECLAIR 2011

posté le dimanche 05 juin 2011

« Je ne suis jamais déçue. Je n'ai pas hésité plusieurs fois à faire cent kilomètres. » Fan de Claude Barzotti, Josette n'en est pas à son premier concert. À l'instar de Marie-Rachel, qui avoue avoir un faible pour les chansons les plus anciennes. La mine victorieuse, Liliane revient vers ses amis, un autographe de la star entre les mains... 

Deux heures avant le concert, une vingtaine de fans étaient déjà en train d'attendre leur idole, qui n'a pas hésité à se prêter au jeu d'une petite séance de dédicaces 

Mais où est la musique ? 

C'est en accompagnant la tombée du jour que le concert a lieu sur la scène en plein air. Avec un accompagnement réduit au strict minimum, un clavier, une choriste, le chanteur belgo-italien fait résonner sa voix éraillée sur un Mais où est la musique ?, qu'il fait suivre d'une intervention facétieuse : « On a coutume de dire que les Italiens sont des beaux parleurs, vous avez devant vous l'exception qui confirme la règle. Je ne parle pas beaucoup, mais tout ce que j'ai à vous dire, je vous le dirai en chantant. » 

Et c'est en chantant qu'il prend son public par la main, pour l'emmener au gré des ambiances intimistes de ses morceaux. Entre les chansons, il n'hésite pas à plaisanter avec ses accompagnateurs ou avec son public 

Le Rital Si ses grands succès ont eu lieu en France, c'est en Belgique que Claude Barzotti a débuté sa carrière. Il y réside encore aujourd'hui. Claude Barzotti envahit la scène française en 1981, avec la chanson Madame, dont le 45-tours se vendra à plus de 400 000 exemplaires. C'est son plus grand succès qui lui donnera son surnom, Le Rital. Cette chanson-là se vendra à près d'un million et demi d'exemplaires. 

Source L'est Eclair